Née à Bruxelles, Cassandre voyage et découvre différentes cultures dés son plus jeune âge. Elle se passionne alors pour la photographie. Elle en étudie et expérimente différents domaines, tant d’un point de vue technique, pédagogique, qu’artistique. Aujourd’hui, elle se spécialise dans le portrait, et ne cesse de nourrir sa passion en recherchant de nouvelles approches, abordant des nouveaux questionnements
TomArt, 35 ans, est un artiste peintre originaire de Charleroi. Il ne souhaite jouer qu’avec un seul de vos nerfs, le nerf optique. TomArt réalise des peintures abstraites Op-Art. Tout n’est que jeux avec dégradés de couleurs et formes, ceci permet de créer une dimension et un effet de profondeur. La couleur est vecteur de gaieté, la laisser libre de forme permet à chacun de se l’approprier.
Arthur Dufoor, bruxellois, pratique la peinture abstraite à l’huile classique. Au centre de cette approche, la fluidité et l’agressivité des formes colorées et l’amour pour les maîtres anciens. Après des études à Gand, il a eu son atelier à Westende. Obtention d’une maîtrise en 2020 à la Luca School of Arts. Dufoor a exposé son travail entre autres dans le Witte Rook, le Kunsthal et LaVallée.
Brieuc Cardon nait à Bruxelles et baigne dans l’art depuis toujours. Ses recherches portent sur le mouvement, la lumière et les couleurs. Constituées de lignes droites, ses « œuvres vivantes » créent la surprise et l’interrogation, et évoluent dans l’espace et le temps avec le spectateur. Son style s’inscrit dans l’art cinétique et optique. Il propose d’envisager différents points de vue et invite au déplacement, au changement.
Diplômée en Photographie, Caroline Cochaux a eu besoin de partager son regard, exprimer son ressenti. Photos personnelles. Sujets de prédilection: la nature & ses cadeaux, les portraits de lieux, les atmosphères, les silhouettes, le mouvement, son regard se pose sur la lumière & les ombres naturelles. Nature in the box représente l’évasion durant le confinement mais aussi la fragilité de la nature & le retour aux sources.
Diplômée de La Cambre en 2004, elle vit à Liège et participe en tant que plasticienne à de nombreux projets artistiques. Elle grandit entre la Lorraine, L’Ardenne et la Gaume, et ses souvenirs sont empreints d’une sensation de nature infinie. Les univers étranges, les rêves, les souvenirs d’enfance nourrissent son inconscient. Dans ses dessins, elle transpose des émotions aux couleurs expressives, intenses et magiques.
Gilliane Warzée est née en 1977 à Bastogne. Son art s’axe principalement sur les visages, l’exploration des couleurs, des expressions et l’énergie qui s’en dégage. L’huile et le couteau combinés à l’aérosol lui permettent de construire ses personnages sur la toile, en apportant puissance et émotion à leurs traits, selon son interprétation de la réalité.
Autodidacte à tendance perfectionniste, je peins depuis 2020. Après la photographie, je m’exerce maintenant à l’abstraction et au minimalisme en peinture. Dans le plus pur style hard edge, je compose mes toiles de lignes et de formes géométriques simples, m’attachant à les rendre aussi nettes et aussi précises que possibles.
Hanna Ilczyszyn est une artiste polonaise qui vit à Bruxelles. Elle a étudié au KASK à Gand, Be et à l’Académie des Beaux-Arts de Wroclaw, Pl. Elle a exposé ses œuvres lors de expositions individuelles et collectives en Asie, en Europe et aux États-Unis. Hanna est l’un des artistes One to
Watch choisie par Saatchi Art, qui promeut les créateurs qui attirent déjà l’attention sur leur travail. L’attention pour leur travail. Elle a reçu de nombreuses subventions et prix artistiques.
Architecte, Bruxelloise-Basque Espagnole… une « Zinneke », Ingrid Louis se concentre depuis deux ans sur ses recherches graphiques, associant différentes techniques : fusain, encre, monotypes; photographie cameraless ; prises de vues à l’aide de son afghanbox qu’elle a construite lors du premier confinement et qui ne la quitte plus. Toujours à la recherche de nouveaux univers, elle joue avec l’inattendu.
Né en France en 1961, il étudie le dessin, le graphisme, la publicité et la photographie à Paris. Imprégné de l’œuvre des photographes modernes, il s’oriente rapidement vers une recherche plus plastique, picturale, jetant un pont entre la réalité appréhendée par l’objectif et l’interprétation du peintre. Il utilise tour à tour papier, métal, toile ou encore miroir selon les sujets.
Jo Michiels (1977 Lokeren) a étudié la peinture à l’Académie de Gand et vit et travaille à Gand. Jo commence à composer ses tableaux à partir de photographies (rétro)pornographiques. Il s’inspire des corps photographiés et des couleurs spécifiques. Ses peintures abstraites sont des compositions de formes géométriques, de couleurs et de lignes organiques.
Autodidacte, belge, Johan Van Mullem travaille à Bruxelles et ailleurs. Il dessine, il peint, il sculpte, il grave, et il écrit depuis toujours. Qu’il s’agisse d’une fresque ou d’une miniature, il s’évade, il s’échappe mêlant visages, paysages, couleurs, figuration et abstraction à la recherche de la lumière et du mouvement. Il lui arrive aussi de méditer longuement dans une narration graphique.
Artiste plasticienne Franco/belge -1975- Graphiste. Bachelier en Communication Visuelle à Saint-Luc Tournai. Exploration des arts plastiques de manière obsessionnelle alternant/mixant les médiums et supports. Installations, sculpture, art du papier, peinture, encre et céramique. Réflexions graphiques avec interprétations visuelles minimalistes et répétitives.
Enseignant de première primaire depuis près de 30 ans, je n’ai jamais suivi de cours d’Art mais je me nourris depuis toujours de BD. C’est en 2019 que je m’inscris à l’académie de Boisfort en sérigraphie où je m’épanouis en faisant des images sur Bruxelles, d’actualités ou ayant pour thème l’origami.
Adrienne Penasse et Marianne Oosthoek sont nées en 1954 à Bruxelles. Ensemble, elles ont fait La Cambre en textile design. En 1975, Marianne et Adrienne créent un atelier, pour ensuite être séparées. Il y a 5 ans, elles se retrouvent, et décident d’élargir leurs recherches et de repartir vers des créations textiles murales. Elles créent alors des œuvres à partir de ce qui leur tombe sous la main.
Actif depuis 2006, il n’a jamais cessé d’exposer que cela soit en Europe ou de l’autre côté du continent un art figuratif aux allures pop via lequel il aime susciter la réflexion, le tout inspiré de son quotidien. Depuis quelques années maintenant, il mêle les travaux de ses filles aux siens. Il trouve que cela apporte une autre dimension à son univers, une continuité dans son travail.
Miguel Moran est un Voyeur urbain. Observateur de son temps, il est à la recherche du temps présent. Quel meilleur endroit pour observer ses semblables dans leur diversité que le métro, où cette humanité condensée se trouve et se mélange. Depuis vingt ans, Moran y déambule avec son appareil photo et y recueille des moments de vie qu’il retranscrit ensuite dans ses tableaux très réalistes.
Pablo Avendaño est un artiste multidisciplinaire basé à Madrid et Bruxelles. Il a exposé ses œuvres en Europe, aux USA et en Chine, lors d’événements comme Apertura Madrid, Festival Photoespaña, Miami Bridge Art Fair, Shangai International Arts Festival ou Scope Basel, et des galeries telles que Martine Ehmer à Bruxelles, RL Fine Arts à New York. ou Aranapoveda et Materna y Herencia à Madrid. Maître de conférences au Centre Wolubilis à Bruxelles, il est membre du jury de plusieurs prix d’art.
Originaire de Charleroi, Nejm Halla est un véritable homme-orchestre. Homme de spectacle, mais aussi de cœur, et de parole, qui jongle avec les images, les idées, la vie. Lucide, engagé, révolté, mais aussi généreux, débordant d’optimisme et de confiance en l’humanité. C’est un artiste pluridisciplinaire, un électron libre, un libre-penseur, défenseur des Droits Humains, un militant laïc et féministe.
En se réveillant après des rêves agités, Franz Baden-Baden se mit à dessiner des insectes. Il répète le même motif jusqu’au moment où son esprit s’égare, où les lignes se courbent.
Autodidacte, curieux et touche à tout, il dessine des insectes, customise des objets, réalise des fresques, des performances, upcycle et crée des sculptures en assemblant des objets de récupération religieux ou des jouets d’enfants.
Pierre Vasic, artiste plasticien, pratique la photographie et la photogravure. Né à Uccle en 1956. Cours de sérigraphie à l’Académie de Dessin et des Arts Décoratifs de Watermael-Boitsfort 1972/1974. Graduat en arts plastiques, section photographie, à l’Ecole Supérieure Communale des Arts de l’Image « »Le 75″ » à Bruxelles achevé en 1979. Atelier « vrije grafiek » RHoK Academie Etterbeek 2015/2022.
Ingénieur et designer de formation, Stéphane a naturellement adopté un langage visuel formel et structuré, alliant formes solides, lignes franches et aplats de couleurs. Naviguant entre abstraction pure et représentation minimaliste, son travail quasi sculptural donne la part belle à l’ordre et à la clarté, explorant les notions de simplicité, de complexité et d’immédiateté.
La Youpie Factory est une usine de réappropriation d’images. Ses principaux sujets sont des êtres humains qui, à l’aide de mises en scènes parfois scabreuses, semblent à la recherche d’une forme de reconnaissance. En les matérialisant, notamment à travers la peinture, il s’agit de contribuer à ce besoin d’exister, tout en questionnant, dans un élan de pop culture, la nature de cette nécessité artificielle.
SEXYTOYS est la combinaison de deux artistes bruxellois. Lui est illustrateur de formation et travaille dans le cinéma depuis 1990 en tant que storyboarder, designer de décors ainsi que l’écriture de scénario. Elle est sage-femme, sexologue, dessinatrice et collagiste. L’idée est de mélanger leurs univers en une sorte de cadavre exquis, une déliquescence graphique où les compositions sont décomplexées.
Illustrateur de formation, Olivier Legrain se spécialise dans l’imagerie fantastique avant de bifurquer dans le storyboard. Il collabore sur la conception de décors et réalise des storyboards pour la pubs, le cinéma et les séries dont Netflix. Il écrit des scénarios dont le film Dikkenek.
On soulignera le travail des lumières rappelant de façon évidente certaines atmosphères cinématographiques.
Jérôme Désert (1973), vit et travaille à Bruxelles. Le dessin est une pratique quotidienne, laisser la trace de ce qui passe, de ce qui se passe. Les trois dessins présentés sont réalisés à l’encre de Chine. Ecriture automatique d’une déambulation imaginaire où les perspectives sont déformées par l’épuisement du geste, ils sont une invitation à se perdre dans un paysage où seul le regard peut s’y promener.
Artiste plasticienne, sa démarche se traduit par l’expérimentation sur supports variant à travers différents sujets stimulés par ses coups de gueule et ses coups de cœur. Couleur, matière et lumière sont omniprésentes dans ses créations car elles rythment, mettent en forme et donnent de la profondeur aux sujets réalisés. Artiste polymorphe, elle vous propose dans son univers artistique une mythologie personnelle !
Thomas Dielman aime qu’un tableau fasse partie du foyer comme un élément indispensable de l’équipement de base. Une table, un lit, un écran plat et un tableau. La différence est qu’il n’y a qu’un seul de vos tableaux dans le monde entier et que c’est vous que le tableau a choisi d’ouvrir ses fenêtres. Cela signifie que, comme tout autre objet, il tombera ou se salira et subira les vagues auxquelles vous devrez faire face.
Corinne Lecot est une plasticienne basée à Bruxelles. Elle s’intéresse à l’activité humaine et axe souvent sa réflexion sur le déplacement, la trace et l’empreinte. Elle réalise des oeuvres à la frontière du témoignage et de l’expression picturale, utilisant souvent le médium photographique comme moyen d’examiner la perception de la réalité et la place de l’homme et de la femme dans son environnement.
Valeria Maksimova née à Moscou, vit et travaille à Bruxelles. Architecte d’intérieur et artiste, elle est diplômée de l’ ENSAV de la Cambre et de l’Académie de Beaux Arts de Watermael- Boitsfort. Depuis 2001 elle expose dans divers galeries et participe à des foires d’Art Contemporain. Valeria explore dans son art l’interaction et la cohabitation de la structure ordonnée et du mouvement.
Diplômé de l’ESA Saint-Luc Bxl en création d’intérieur en 2018, c’est durant cette formation que qu’Alexandre Van Praet a acquis un attrait pour l’esthétique et l’architecture. La photographie a toujours été pour lui un passe-temps et ce n’est qu’avec la découverte de l’urbex que ce passe-temps est devenu une passion. Depuis, il arpente la nuit et les ruines à la recherche de lieux irréels et d’ambiances intrigantes.
Anna Touvron aime jouer avec les formes et les textures, et se délasse à créer des pièces anthropomorphes. Ces visages reflètent un passé de rencontres passionnées sous un flot de délires et de rêves artistiques. Yeux ronds, bouche suspicieuse, à barbe ou à grandes oreilles, le caractère de chaque élément composant ces faces rieuses, étonnées ou grimaçantes sont reconnaissables mais énigmatiques aux yeux des visiteurs•euses.
Natacha Brion (1969, Bruxelles). Poursuis en parallèle une carrière scientifique et artistique. Sa pratique se base sur la création de sculptures/installations qui s’appliquent à rendre visible l’invisible en jouant avec les propriétés physiques/évocatrices de la matière, en modifiant échelles/perspectives et en soulignant les lignes de force de structures naturelles/architecturales complexes.
Najib Rissaoui aka Sawy est né en 1988 à Charleroi. Il exerce dans plusieurs domaines comme la peinture, le graffiti, la sculpture, ou les toiles en 3D. En 2014, il expose de manière permanente à la Filleul Galerie de Charleroi. Les opportunités se multiplient ensuite: exposition pour Alfredo Longo dans la galerie « Heart 2 Galery », participation à l’édition 2016 de Art Truc Troc, à Art Up Lille et à l’Affordable Art Far à Bruxelles.
Peintre sans pinceaux, Hervé Penhoat participe d’un rapport au réel dont la temporalité, la nature et l’imaginaire sont au cœur de son travail. Ce plasticien et Docteur en Art et Science de l’art nous fait voyager hors temps tout en posant un regard sur la société actuelle avec la retenue et la mesure qui établissent la relation au monde.
Graphiste de profession, Bénédicte Pirenne rejoins l’Académie des Beaux-Arts d’Arlon en section peinture, puis en section dessin. Elle trace, efface, superpose, gratte, … retrace, organise le désordre pour créer une autre réalité, une autre écriture, un chaos joyeux, coloré et libre. Un cache-cache avec le support à la recherche de mouvement, d’énergie, d’équilibre et de lumière.
Les tableaux de Martin Coiffier tiennent autant de l’univers du cinéma dans lequel il a baigné depuis toujours, que de l’héritage pictural romantique et impressionniste. Les forêts qu’il dépeint sont le reflet de la réalité qu’il a capturé par la photographie, mais offrent également une porte d’entrée vers un univers imaginaire construit par les différents niveaux de manipulation qu’il y a apporté.
Né en Géorgie, Merab étudie à l’académie des Beaux-Arts de Tbilissi. Il crée une version originale de la peinture abstraite qui est conceptuellement basée sur la métaphore de l’ombre. L’artiste pose des questions sur la singularité des ombres et ses possibles significations. En 2019, Merab est invité à participer à l’exposition « PERSONAL STRUCTURE » de la Biennale de Venise.
Claire Picard Environ 35 ans après mes études en peinture à l’ENSBA de Paris, je me suis mise à la sculpture. Ma recherche a évolué du geste pictural à la création de volumes. J’aime capter la lumière, jouer avec les formes dans leur espace, travailler, recycler, dénaturer, déformer, décomposer, restructurer, construire, élaborer… Les matériaux les plus divers. Au fur et à mesure les fibres textiles s’ imposent. www.clairepicard.info
Liesbeth Willaert est une artiste contemporaine belge connue pour ses peintures audacieuses, colorées et géométriques « »ensoleillées » » à l’acrylique. Ses œuvres révèlent, inspirent et connectent cette « »joie de vivre » » avec chaque public. Son style unique est dû à la tension spécifique ou « »danse » » comme il l’appelle, entre les formes organiques et géométriques. Elle a exposé à New York, Paris, Londres, Monaco, Barcelone, Madrid et en Belgique. https://www.liesbethwillaert.com @liesbethwillaert_paintings
Radu Stefan est un artiste qui utilise plusieurs méthodes d’expression : photographie, peinture, land art, le papier… Son travail gravite entre ciel et Terre, entre lumière et ombre. Ses recherches se concentrent sur l’humain, l’homme en ville, dans la nature et à un niveau plus vaste- l’homme dans l’univers. Mais Radu Stefan est plus connu pour son chapeau bleu ciel et ses œuvres CUT OUT 3D & Light boxes. Des boites rétro éclairées, découpées en papier, un travail minutieux et délicat qui lui a valu deux fois le PRIX DU PUBLIC pour son travail : 2018 et 2020. www.radustefanpoleac.com
Mes sculptures parlent de l’être humain et d’être humain. Des humains dans un monde sans codes, sans conventions, sans normes, sans contraintes. Elles symbolisent des personnes partageant la joie, l’émerveillement ou simplement un moment dans le temps. Leurs formes sont des versions libres et organiques des personnes. J’essaie de trouver un équilibre entre les formes essentielles, en effaçant certaines mais pas trop, en menant un combat intérieur pour conserver l’énergie, la vitalité et la spontanéité initiales et en acceptant leur non conformité.
Caroline Purgal est diplômée de l’Académie Royale des Beaux-arts de Bruxelles-Ecole supérieure des arts en 2015. Il est impossible de ne pas souligner sa fascination pour un art à connotations érotiques. Rien chez elle n’est « politiquement correct » les thèmes choisis sont une prise de risque, sa manière de remettre en question les conventions et la DOXA. Chez elle, l’œuvre et la vie, tissent d’étroites connexions, entretiennent des complicités assumées.
Diplômée en Design Textile à Paris, j’ai prolongé ma formation à l’ENSAV La Cambre à Bruxelles. C’est en 2014 que je me tourne vers la broderie. J’ai depuis décidé de me spécialiser en broderie haute couture et perlée au crochet de Lunéville, en broderie d’Or et en relief dite “Stumpwork” à la Royal School of Needlework (Londres). C’est en découvrant tous ces savoir-faire traditionnels, leur richesse et leur complexité technique que j’ai eu envie de les exploiter à travers mon univers aux références plus contemporaines. Allier technicité et créativité, au travers d’objets, accessoires et surfaces brodés
Michel Cerfont est diplômé de l’Institut St Luc et de l’ESA le 75 à Bruxelles. Dans son travail, l’image architecturée, évocation d’un réel structuré y côtoie l’imaginaire. Dualité entre géométrie architecturale et lyrisme de fragments minéraux. Tel un orfèvre, il nous invite à entrer dans une perception proche de la méditation. C’est le début d’un voyage vers l’homme et ses terres intérieures.
Eleni Ikonomidou est née à Istanbul et a grandi à Athènes. Elle est diplômée en littérature aux Pays-Bas et en peinture et gravure à l’Académie de Watermael-Boitsfort. Elle a participé à de nombreuses expositions. Dans son art la ligne est omniprésente. En créant des formes organiques non-descriptives, elle est le fil conducteur qui mène le regard vers des racines de la mémoire et du soi.
Benoît Lallemand est architecte d’intérieur, a été professeur de Design à l’ESA St Luc Bruxelles. Provoquer une rencontre entre des réalités opposées repousse les limites de ses narrations spatiales. Questionner, bousculer les certitudes de la bienséance et l’équilibre du politiquement correct stimule sa curiosité. Détournements ludiques pour rêves éveillés, lever les soupçons sur trop de raison …
Né en 1983 à Bruxelles, j’ai trouvé dans la photographie un excellent moyen d’exprimer ce que je ressens. Mes photos se concentrent surtout sur l’environnement urbain. Je m’intéresse aux lignes, aux formes et aux couleurs et je cherche les jeux de lumière et d’ombre. Mon objectif principal est de proposer un nouveau regard sur les choses ordinaires en créant des images épurées et graphiques.
Nuria est une artiste diplômée en arts plastiques qui vit à Bruxelles. Son travail est une mise en lumière du lien qui existe entre l’intimité et l’altérité. À travers ses paysages et ses personnages surgissent des thèmes universels. Sa création dévoile un monde onirique où s’élaborent progressivement les liens psychologiques, graphiques et picturaux.
Etudes d’insectes: Créées à la limite du réel et de l’imaginaire pour susciter la curiosité et l’envie de protéger ces spécimens. Réalisées à partir de papiers récupérés, découpés, cousus, collés et façonnés. Le passé du papier est apprivoisé pour le faire perdurer. Le papier reflète bien la délicatesse du temps qui passe.
D’origine bolivienne, c’est en Belgique que j’ai trouvé ma voie, celle de l’art. A partir de 2006, j’ai suivi des cours de dessin et de peinture à l’Académie de Dessin et des Arts de Molenbeek; ensuite à l’Académie Beeldende Kunsten d’Anderlecht. Depuis, au moyen d’une matière picturale très diluée, j’aime associer la beauté de la nature, la sensibilité humaine et la musique sur des toiles généralement de grand format qui engagent tout mon corps. Ces thèmes, je les suggère afin de créer un dialogue entre le figuratif et l’abstraction.
Je suis peintre. J’adore les images et je les collectionne. J’aime aussi questionner ce que je vois. Des poubelles peuvent devenir intéressantes, ou des comics anciens peuvent retrouver vie grâce à mes recompositions. D’autres images télévisuelles ou d’internet m’interpellent : je les peins pour être témoin de mon temps. Ce qui m’importe et me plait je le peins, je « scrolle » la vie.
Wolfgang Petsch, artiste multiforme, techniques mixtes 1983-1988, Master of graphic design & communication, La Cambre, Bruxelles 1995-1997, Master of business and innovation, Faculté Polytech, Mons. Démarche artistique qui tend vers un langage universel et cherche à se libérer des conventions et des contraintes esthétiques. La Fondation Andy Warhol est totalement consciente de mes créations artistiques audacieuses un fervent défenseur de la liberté d’expression.
Bérengère Bordet est graphiste freelance depuis 20 ans et enseignante en infographie. Son parcours professionnel traverse des agences de communication corporate, d’édition Bd et de presse magazine. Son travail actuel consiste à mélanger des gravures anciennes de corps et de personnages avec de la typographie et des motifs floraux. Elle s’interroge sur le lien perdu entre l’homme et la nature.
Pierre Moreau vient de la mode et de la publicité, mais le voilà libéré de toute contrainte, n’ayant à servir que son regard et sa sensibilité, en s’appuyant sur son extraordinaire expérience de la fabrication d’images. Jamais la distinction entre peinture et photographie ne nous a parue si ténue devant ces images si savamment composées, aux couleurs exquises, aux nuances si étudiées, qui recréent le rêve collectif face à la mer
Nicolas d’Oultremont est un artiste belge. Diplômé de l’Institut des Arts de Diffusion, passionné par le corps et le mouvement. Il allie le théâtre et la sculpture et cherche à créer une relation entre l’oeuvre et le spectateur. L’artiste nous propose une observation de l’être humain dans son quotidien.
Chacune de ses créations exprime une intention dans le mouvement et suggère une émotion dans son interprétation.
La matière la passionne… métal, verre, terre, porcelaine papier… elle autorise un retour à soi, à l’essentiel. C’est une expérience forte et grisante, touefois, elle avoue avoir une affection toute particulière pour le métal. L’origami est une de ses sources d’inspiration. Il l’intéresse par la forme et la dynamique qu’il génère.
Robert Quint né à Stuttgart en 1973 . Il a étudié la peinture de 1993 à 98 à l’ENSLAV La Cambre, Bruxelles. En 1996, il obtient une bourse au MICA, Maryland Institute College of Art à Baltimore aux États-Unis. En 2010-11, participe à la résidence au Künstlerhaus Bethanien à Berlin. Robert Quint expose tant en Belgique qu’à l’étranger. Robert Quint crée un mélange de poésie, d’humour et de réflexion critique.
J’ai 35 ans, diplômée en Histoire de l’art, je suis artiste peintre, autrice et formatrice. Mon atelier se situe à Bruxelles où je peins à l’huile des toiles abstraites sur grand format. Mon processus créatif s’inspire des enseignements du Bauhaus, avec l’objectif de faire un lien entre la couleur, la lumière et les émotions en faisant appel aux facultés de perception et d’imagination de chacun.
Arts Graphiques à Saint-Luc Liège, Gravure à la Cambre. Le Spacepafpaf est un pistolet de l’espace, un « pafpaf » coloré, comme dans les illustrations des jouets dérivés des films d’anticipation des années 50. Je travaille la gravure mais aussi le textile, surtout le crochet. Mes sujets fétiches : des objets du quotidien qui rétrécissent ou qui s’agrandissent dans un monde aux merveilles, des animaux et créatures improbables, des grisgris au bel oeil, des marionnettes pas nettes du tout,…. Pour Truc-Troc, je vous présente un triptyque de « Coucou Clock », ce sont des interprétations libres des coucous vintages de la Forêt-Noire. Chaque coucou est une petite maison, un petit chalet qui vous raconte une histoire, …. Laquelle? La mienne? La vôtre? Celle de notre enfance?
Luc Medard Récup’art est assembleur, sculpteur depuis plus de vingt-cinq ans. Sans savoir vraiment où il va, la création est pour lui un mode d’expression, elle le pousse vers un autre devenir de l’objet, une « revisitation » de l’enfance, une adaptabilité à l’étrange qui frôle le jamais vu, l’objet usuel commun, connu devient unique et sympathique.
Kathleen Steegmans vit et travaille à Anvers, en Belgique. Elle a obtenu son diplôme de maîtrise en beaux-arts en 1998, mais elle ne pensait pas avoir ce qu’il fallait pour devenir une artiste active. Dans les années qui ont suivi, Kathleen s’est formée au métier de graphiste et a créé une agence de création. En 2018, elle s’est remise à la création artistique. Le travail de Kathleen a une forte connexion avec la féminité, la grâce, la sensualité, l’abondance, la manifestation, la joie.
Dans ses natures mortes, Nadèje cherche à faire apparaitre la délicatesse et la poésie au-delà de l’apparente langueur de ses compositions florales figées et éphémères. Ses sujets de prédilection: tous ou presque, l’immobile, le mouvement, la nature, l’urbain. A celui qui sait contempler, toute chose est belle. Nadège vit et travaille à Bruxelles où elle a étudié l’art et la publicité.
La fraicheur de ses créations basées sur une imagerie populaire, au-delà des limites techniques, nous plonge dans une atmosphère onirique, voir tropicale sublimant les souvenirs communs. Femme du futur jouant avec le passé, elle étudie toutes les approches possibles depuis son « Studio Graphistique », Le Baiser de la Crevette, épicentre d’une oeuvre qui surprend les visiteurs par son esthétisme, et, surtout, son audace perpétuelle.
Peintre, graveur. Membre de l’atelier Kasba, professeur de l’atelier de gravure de l’Académie des B-A de W-Boitsfort. Nombreuses expositions, lauréat du prix Carcan Gravure 2022. Il a participé à Truc troc en 2007/8 avec des peintures néo-pop. Il pratique la litho et le métal, son médium est le bois (xylographie) en couleur, en grand format, couleur fluo/noir, il mélange aplats et dessin figuratif/bandes.
France Paquay – Photographie – Liège. S’intéresse à la relation et la nature humaine. Porte un intérêt particulier au reportage social et aux portraits, liant étroitement dans ses travaux la nature humaine et les gens de la rue. Elle ne cherche pas à embellir la réalité, mais à la restituer avec dérision. Elle interroge le quotidien, la banalité, « les petites gens » … dans des relations intimistes.
L’œuvre de Lauranne van Naemen exprime ce langage sans frontière, sans traduction, sans grammaire qu’est l’Art. Le temps et l’espace se fondent dans le souffle de l’instrument du dessin et le chant du papier effleuré. Courant contraire aux rapides d’aujourd’hui, Lauranne écoute, contemple, décante la beauté du monde que sa main, sensible et forte, transmet. Sa main qui tient l’instrument de création. Cette main se tend vers nous.
Paul Kenens peint couche après couche photoréaliste à la peinture à l’huile. Principalement des personnages, des femmes, des enfants et eux-mêmes. Une touche de surréalisme est parfois perceptible. Le tableau présenté est sa version béante de la toile que le roi Henri IV recevrait de son ex pour se venger de son mariage avec Gabrielle d’Estrées. Malheureusement, elle est décédée une semaine avant le mariage…
Michel de Bray cherche à sublimer les courbes du corps féminin par une exploration poétique en les présentant de façon tantôt abstraite, tantôt paysagée. Il laisse s’exprimer sa sensibilité sous une forme sombre, sobre, élégante, mystérieuse, teintée de noirs et de gris, agrémentée de textures à la fois floues et soyeuses. Un lent voyage dans les profondeurs superficielles de la douceur de l’épiderme…
Le travail de Sylvain Delbecque explore les phénomènes de perceptions, les phénomènes naturels. Nous interrogeant sur notre rapport sensible à la matière, à notre sens de l’observation, au déplacement de notre corps et de l’espace nous englobant. Tissant des liens invisibles entre les différents éléments qu’il a pu observer et récolter. Et d’où il puise ses sources, tels que les sciences.
SurAnatomie. Céline Bataille. Sérigraphie. 2020 – 2022. Dans cette série, Céline Bataille utilise la sérigraphie pour dévoiler l’intimité et la multiplicité du corps humain. Elle dévoile une accumulation d’organes, de dessins anatomiques, qui représente nos émotions, un tout qui forme notre vie. C’est également révéler ce que nous avons tous en nous, ce qui fait de nous ce que nous sommes, des êtres humains.
Si l’expression artistique de Jean-Philippe BRAAM (1957) passe aujourd’hui par le pinceau, pendant de longues années il fut son outil privilégié dans l’exercice de son métier de restaurateur de tableaux. Tenté un temps par l’ascétisme formel de l’Art Concret, il assuma l’idée que sa création ne pourrait en arriver à rejeter les formes de la nature, si peu figuratives soient-elles. MVL 2020
Passionnée par les possibilitées textiles, Solange a imaginée et crée une technique personnelle avec laquelle elle a réalisée entre autre des ecuelles.
www.instagram.com/pilato.gallery Enfance et nostalgie. Tous avons eu un Kinder entre les mains, avons secoué l’œuf, attendions la surprise. Les personnages sont accrochés les uns aux autres et cherchent à se faire une place. Tous se ressemblent mais luttent pour leur singularité ce qui en fait un reflet de notre société.
Simon Malotaux est un artiste plasticien travaillant à Bruxelles. Il restitue sans superflu les formes qu’il observe. Par un choix de couleurs rigoureux, il apporte de la douceur à ces paysages utopiques. Il sculpte les cadres qui viennent faire écho à sa peinture. Dans cette recherche de simplicité, SM propose un espace paisible dans lequel le spectateur peut se plonger.
Les corps s’emmêlent et s’unissent, suivant un mouvement circulaire. L’un semble protéger l’autre. Ils forment un cocon au sein duquel règnent tendresse, générosité et amour. Par cette série, je présente les relations humaines comme pilier d’une société juste et inclusive.
Lorsque l on naît nous sommes déjà soumis à un passé. Celui-ci peut ou non impacter notre futur. Dans mon cas j ai préfère utiliser mon présent pour faire ressurgir le passé en espérant façonner un Futur. Tout est dans la « »mémoire collective
Cette série fait partie d’une recherche sur les découpes carrées, de plus en plus profondes donc un jeu sur le noir de plus en plus profond. Elle fait émerger une architecture insolite, différente vue de haut et de côté entre temple et ruche. Les anciens bottins (pages blanches ou d’or) sont pliés page par page pour développer leur volume , révéler la couleur des tranches et faire miroiter la lumière. Les pages blanches vieillies donnent une texture, proche de la nature, comme un ballot de foin.
Photographe bruxellois, Vincent Peal s’est fait connaître au sein de la formation électro rock Emma Peal. Faire des portraits c’est d’abord se rapprocher des autres et transmettre des moments de vie. Dans la rue, j’ai vu des dizaines de visages, chacun raconte des histoires incroyables, dures, belles, amusantes et quelques fois compliquées; mais, dans ces visages il y a tout un univers à découvrir et c’est à travers la photo que je tente de décrire l’humain dans toute sa sensibilité, sa poésie, sa fragilité, ses drames, ses absurdités, ses émotions…www.vincentpeal.com
Mon travail artistique consiste à créer des formes géométriques à l’aide de théorèmes mathématiques (Cardiode + Polytope) et d’enchevêtrements de fils. La base est en bois et les clous sont disposés uniformément autour de son périmètre. Sur les fils, j’ai appliqué une colle spéciale pour les faire durer plus longtemps dans le temps. HCes théorèmes mathématiques peuvent également être trouvés dans le chemin parcouru par les planètes dans l’univers ou dans les plantes, un exemple étant la forme d’un tournesol. Le dessin géométrique qui se forme peut aussi être appelé mandala. Cette figure est représentée dans différentes cultures ou religions mais elle est appelée différemment. Ces dessins sont des symboles qui représentent la beauté de l’univers et le microcosme de l’homme
Natalie Arsenow est titulaire d’un master en arts plastiques. Au cours des 2 dernières années, elle a participé à de nombreuses expositions collectives et a également eu plusieurs expositions personnelles, toutes à Bruxelles et dans les environs, où elle vit depuis 2014. Avant cela, Arsenow a résidé à Paris, Louvain, Séoul et Los Angeles. Actuellement, l’artiste peaufine son style signature ainsi que l’exploration de différentes idées et méthodes.
Je suis photographe de formation et décoratrice dans le cinéma. Observer la vie, la nature au fil des saisons, photographier les gens ici et ailleurs, imaginer leur vie est un régal et une source d’inspiration infinie. Un plaisir à chaque fois renouvelé. La poésie sous nos yeux, partout !
Inspiré par les pères de l’art optique et cinétique, Jérôme Jasinski (né en 1968) crée par ses œuvres graphiques et ludiques la surprise d’une 3D déroutante. Après quelques années comme photographe publicitaire , il se tourne vers l’ébénisterie qu’il étudie pendant 4 ans. Passé professionnel dans la création de meubles et d’objets design, (1995) il consacre ses week-end à créer ses premières œuvres originales pour devenir, depuis une décennie, artiste à plein temps
Mon travail mélange art et sciences et interroge la notion de l’invisible et du visible. Ma démarche cherche à créer une oeuvre entre vue analytique et ambiance onirique. S’inspirant de recherches scientifiques ainsi que de peintures et sculptures des siècles passés, mes peintures fixent leurs sujets dans des compositions suspendues dans l’espace et le temps.
Après 25 ans de production et de réalisation audio-visuelle, Dominique Christoffel entame, à partir de 2007, un parcours de scénariste en même temps que de peintre, avec un premier triptyque aux influences aborigènes qui ont depuis fait place à une peinture plus figurative, qui se dépouille peu à peu, pour se concentrer sur la représentation de la lumière, thème transversal de son travail.
Au moyen d’un travail figuratif sur papier, associant dessin au crayon, gouache et fils à broder…, je tente une réflexion sur le corps intime et social de l’individu.
Ici, je propose des regroupements de figures féminines captées dans les postures les plus quotidiennes. Jusqu’à quel point sont-elles prises dans le réseau de fils qui les relient ?
Et qu’en est-il pour nous qui les regardons ?